Traduire en technologie les legs scientifiques de nos ancêtres d’Afrique noire, ancêtres de l’humanité entière.
Hisser au sommet de la gloire et du monde, la renaissance africaine.
Relever un défi majeur c’est à dire vaincre l’humiliation par l’exigence et la rigueur en démantelant les mensonges religieux et géostratégiques
Il faut arrêter de tourner en rond autour du pot et aller droit au but. Seules la culture et la science sauveront le continent africain et cela passe par un itinéraire. Renouer avec le passé glorieux de la Kamita.
C’est l’option prise par le CCI, Centre Culturel de l’Invitation qui a fait le choix de la complexité, consacrant à la renaissance africaine un thème. Cette fois-ci : le racisme structurel ou systémique. Il découle de l’organisation collective des sociétés qui mettent à l’index la couleur de peau. Cela se traduit dans tous les compartiments de la vie sociale : la recherche de logement, de l’emploi, même dans le sport et les administrations. Son ombre plane. Il nous importe de creuser ce thème pour remonter à ses origines. On y retrouve bizarrement les manipulations religieuses. En occident, le christianisme viendra en tête à travers les versets sataniques de la Bible. Ils ressortent du livre de la genèse, plagié et falsifié d’un texte babylonien et asservi par la suite aux intérêts géostratégiques, pour inventer à Noé blanc, trois enfants dont un fils noir dénommé Cham, lequel Cham aurait été maudit pour avoir découvert la nudité de son père, un ivrogne blanc. De ce mensonge concocté à des fins de domination résulterait la malédiction dite de la descendance de Cham, l’enfant noir, dont la descendance de la descendance a été maudite.
Mais ce n’est pas tout. En creusant plus encore on retrouve l’Eglise. Encore elle avec cette fois-ci un Pape. Nicolas V. Jugez-en vous-même par la teneur de sa bulle aux conséquences ignobles pour les noirs africains. Un génocidaire point c’est tout. C’est le 8 janvier 1454. L’Eglise catholique est rentrée dans l’histoire du monde de la façon la plus abjecte. « Nous avions jadis, par de précédentes lettres, concédé au Roi Alphonse du Portugal, écrivit-il – entre autres choses la faculté pleine et entière d’attaquer, de conquérir, de vaincre, de réduire et de soumettre tous les sarrasins (c’est-à-dire les africains), païens et autres ennemis du Christ où qu’ils soient avec leursroyaumes, duchés, principautés, domaines, propriétés, meubles et immeubles, tous les biens par eux détenus et possédés de réduire leur personne en servitude perpétuelle ».
Le Pape Nicolas V pouvait-il ignorer qu’il venait de déclencher un vaste génocide qui allait condamner des centaines de millions d’africains noirs, mais aussi des amérindiens et mélanésiens ? Les conquêtes occidentales ont uni autour du génocide et de la prédation un monde fou à l’encontre des africains d’abord rendus meubles par ‘article 44 du « code noir », le droit le plus criminel mis au point par l’occident judéo-chrétien. On peine à comprendre aujourd’hui que des nations impérialistes, leurs armées, leurs industriels, et leurs financiers ainsi que des religieux perpétuent encore ce système en plein XXIe siècle. Il faut et l’on doit interpeller les hauts dignitaires des Eglises partout dans ce monde car l’Etat de l’Afrique Noire d’aujourd’hui, appauvri et déstructurée présente une causalité naturelle et adéquate avec cette racine artificielle imposée à elle par l’occident judéo chrétien avec qui on doit rompre tous les liens pour renaître en toute liberté. Car si l’on cherche la source du racisme antinoir dans le monde, il faudra commencer par nettoyer devant sa porte. Elle se trouve intégrée au système religieux, un système raciste d’extermination de l’homme noir dont l’occident est le champion. Mais l’occident profond, tout comme l’Afrique noire profonde en ignorent les origines et la portée réelle. Combien sont-ils en effet les chrétiens africains et européens à qui le catéchisme a enseigné la bulle papale de Nicolas V et le Code noir ? Réponse : aucun.
Pour autant ! Nous ne resterons pas pour autant pessimistes et fatalistes à vie comme nous l’aurait prédit le pape génocidaire Nicolas 5 et le Code noir. Si l’Afrique et les africains le décident, s’organisent mieux, travaillent avec méthode et rigueur, se sacrifient en conséquence, l’Afrique noire peut très rapidement devenir une puissance mondiale, industrialisée, développée, moderne, scientifique, et technologique.
C’est pourquoi la connaissance doit prendre le dessus sur l’ignorance induite par les religions abrahamiques et leur code noir.
Le débat sur le racisme structurel et les moyens de le combattre ne se limiteront donc pas à la parution de quelques articles. Il s’agit surtout de travailler sur la meilleure façon d’agir en matière d’éradication de ces crimes et de lutter contre ces discriminations. Il est aussi important de s’unir, peuple d’Afrique noire et peuple du monde dans cette lutte pour permettre à ceux qui ont été les victimes durant des siècles de manipulations occidentales de renaître. Cela passe d’abord par la connaissance d’un fait historique qu’il est possible de traduire en technologie. Cette semaine, c’est de démocratiser les systèmes d’écriture pour permettre à tous les enfants et adultes du monde de rectifier les erreurs inhérentes à l’enseignement colonial qui a prévalu dans ce domaine manipulé aux fins de pillage massif. En témoigne la quantité des œuvres d’art pillées et stockées dans les musées occidentaux construits exprès pour les réceptionner.
Systèmes d’écriture inventés par les peuples Anou (éthiopiens anciens et ancêtres des Kamits (égyptiens anciens) tous des peuples noirs d’Afrique anciennement énommé KAMITA.
- « Médou Nétcher » dits – hiéroglyphes » par les grecs. Inventés dès la fin du 4e millénaire de l’ère ancienne africaine par les Anou « Médou Nétcher » signifie les « Paroles de Dieu ou encore les « saints écrits » en langue Kamite
Document 2 les quatre systèmes d’écriture inventés en Afrique antique
- Document 2 : le Hiératique, cursive inventée vers -2800 pour écrire plus facilement sur les papyrus (1ère simplification des signes pour gagner en rapidité
- Document 3 – Le Démotique, cursive inventée vers – 700 pour populariser l’écriture et gagner encore plus en rapidité
- Document 4 – le copte inventé après l’invasion grecque vers -300 suite à l’invasion d’Alexandre le Grand, surtout utilisé dans le cadre religieux
- Document V – Enfin l’écriture Méroïtique de l’empire Koushite avec sa capitale Méroé qui succéda à l’ancienne capitale Napata au sud de l’Egypte (près de la montagne sacré du Djebel Barkal. Cette écriture attestée vers -300 ans fut utilisée jusqu’au Ve siècle de l’ère occidentale Cette civilisation Koushite autrefois à l’origine de la civilisation égyptienne a d’ailleurs conquis Kemet (Egypte ancienne) et fondé la 25e dynastie vers 700 de l’ère ancienne africaine. Certains de ses pharaons célèbres furent : PIANKHI, SHABAKA, SHABATAKA, TAHARKA, TANOUNAMON, «
Document 6 : écriture démotique Kamite
Les apprenants, élèves, et étudiants ainsi que les peuples de l’Afrique et de l’occident profonds gagneraient tous à connaître cette invention attribuée à tort à la Mésopotamie et à le traduire en technologie en cette ère du numérique, à travers des shorts, vidéos ou autres matériaux numériques accessibles à tous (BD numérique par exemple).
On ne peut parler aujourd’hui des systèmes d’écriture sans évoquer les récentes fouilles archéologiques effectuées à ABYDOS dans le sud de l’Egypte par le Professeur GÜNTER DREYER, directeur de l’Institut d’archéologie d’Allemagne. S’il y avait encore quelques doutes nourris notamment par des esprits sceptiques, les fouilles archéologiques menées en 1998 par le Professeur précité les dissolvent.
Elles attestent et corroborent l’invention de l’écriture en Afrique
vers – 3400 ans, donc bel et bien avant Sumer (où les hommes ont utilisé des tablettes en terre séchée).
«Lors de sa conférence de presse officielle, Günter DREYER fut formel : [l’écriture égyptienne était bien plus avancée que celle de la Mésopotamie qui à l’époque n’était pas encore habitée par les sumériens]. »
En effet, c’est dans le sud de l’Egypte à Abydos que son équipe a trouvé dans de très anciennes tombes royales, 300 poteries portant des traces d’écriture. Cette information est importante car elle atteste que bien avant l’avènement du pharaon soudanais Narmer, unificateur des deux terres (Hausse et basse Egypte) vers 3200 ans de l’ère ancienne africaine cette découverte cruciale pour l’humanité avait déjà été faite. Le fait remarquable est que nos ancêtres noirs africains de l’humanité ont utilisé la faune et la flore africaine pour mettre au point cette invention (Lion, babouins, roseaux, crocodiles, hippopotames etc…)
Ainsi les Anou (Ethiopiens anciens ancêtres des Kamits) et les Kamits (Egyptiens anciens) furent les seuls à inventer durant l’antiquité plusieurs systèmes d’écriture. Le message derrière ceci se résume à : stoppez la diabolisation de nos ancêtres noirs africains qui ont généreusement légués l’écriture à notre humanité.
Au vu de ce qui précède, l’Afrique des libertés qui est actuellement en marche vers sa souveraineté en tout domaine (monnaie, langue, système scolaire, sécurité totale)doit arrêter avec les manipulations occidentales constamment en mue pour échapper à la détection des radars.
Ce n’est pas une volonté délibérée des africains d’être dans l’Etat où ils se trouvent mais chacun sent que le débat est gênant, délicat et qu’il ne peut se décrire à grand trait pour les uns sans fustiger la responsabilité des politiques. Il est temps d’affronter ce passé en vérité pour réconcilier les peuples en chassant tous ceux qui,profiteurs,l’empêchent d’être réellement souveraine. Que l’occident impérialiste l’entende avant le vent de la révolte qui gronde et qui s’annonce impitoyable.
SOURCE : NIOUSSERÊ KALALA OMOTUNDE – L’AFRIQUE IMPÉRIALE, LA THÈSE COLONIALE FACE À LA VÉRITÉ HISTORIQUE, – COLLECTION SESHÂT ANYJART PP. 23-30
Je remercie le P D G. Qui est le fondateur du centre le CCI. Qu’il soit protégé par les anges du ciel .