REUSSIR LA RENAISSANCE AFRICAINE ! RENOUER AVEC LA VERITE ? FOCUS SUR LA NECESSITE DE CELEBRER NOS ANCETRES MERITANTS COMMENT ET POURQUOI ?

Il faut arrêter de célébrer les ancêtres de substitution imposés par des entités qui croient être sur terre des messagers de Dieu ! Avec eux, nous avons perdu la boussole. Or, cet instrument est si précieux pour retrouver le sud. Retrouver le sud: c’est l’objectif. Trois visions s’affrontent à ce propos. Une première : elle émane du grand peuple africain perdu, car sans repère, et à qui, il manque un vrai leader de la dimension et de la carrure de Nelson Mandela le Madiba.

La deuxième est composée d’une marge de combattants et de guerriers issus de ce même peuple. Ils n’ont d’armes que la plume et la parole pour anéantir un système mis en place depuis des siècles. Le problème ici avec cette posture est qu’ils font face à une hydre à mille têtes, un système monstrueux. Il faut donc mettre en place un autre système pour y faire face et y arriver. Mais ils font tout leur possible pour retrouver la boussole africaine perdue à travers ses langues, sa culture, ses croyances, ses civilisations, sa science, son avenir politique. Ensemble, ils se battent contre vents et marées pour que la boussole puisse être rétablie pour tout un peuple et son équilibre. Se raccrocher aux racines profondes de l’humanité c’est de la robustesse.

Enfin la troisième. Elle défend le statut quo du fait de sa position actuellement confortable. C’est cette élite qui est aux commandes. C’est elle qui siphonne les ressources minières du continent en complicité avec les multinationales qu’accompagnent les armées étrangères établies en force sur le continent. Elles agissent souvent en sous mains pour ne pas dire en sous-marins en raison des intérêts personnels, les leurs qui sont aux antipodes des intérêts collectifs du peuple africain. Malgré les évidences, les mouvements des peuples, elle s’accroche désespérément. Son mot d’ordre : « circulez, Rien à signaler – RàS ». Mais pas pour longtemps vu le réveil massif en cours.

Entre ces trois postures, la bataille fait rage permettant tout simplement à la vérité d’éclore et de se frayer son chemin. C’est le sens de la lutte contre l’Africanisme eurocentriste. Par d’abondantes vérités jusqu’ici ignorées du grand public, le mensonge recule faisant progresser de façon irrésistible l’objectif de la renaissance africaine : une langue, une histoire, une croyance, une vision pour l’avenir, une civilisation comme tout le monde.

  •  Rétablir la vérité sur Ousiré et Aséta qui présentent d’étranges similitudes à maints égards par leur histoire avec Jésus Christ et Marie. Il se trouve que les deux premiers originaires du peuple Anou sont du Soudan et ont étonnement précédé les seconds d’au moins 1500 ans suivant le Papyrus Nebqeb. Alors question : qui aurait copié qui ?
  •  L’Afrique remet également les pendules à l’heure. Avec la découverte d’artefacts exceptionnels dans la région de Blombos en Afrique du Sud avec le Professeur Christopher Henshilwood de l’Université de Wiwatersrand de Johannesburg (colliers de coquillages, pierres avec tracés géométriques remontant à – 80 000 ans, c’est la compétence cognitive de l’homme africain qui est démontrée bien avant (50 000 ans avant les autres).
  • Mais en avait-on vraiment besoin? Dans le Cahier n°1 de l’institut africain d’Egyptologie Cheikh Anta Diop, le Professeur Théophile Obenga brille de mille feux traitant de façon magistrale du savoir géométrique très ancien qui a existé et fleuri en Egypte au temps des Pharaons.
    Cette contribution de l’Afrique à la Mathématique mondiale place la géométrie dans son véritable contexte natif, historique, et culturel. Le Cahier est dédié remarquable pour le souligner par l’auteur à quelques-uns de nos ancêtres méritants.

o 1èrement à Imhotep. Homme d’Etat, architecte, grand prêtre, philosophe et scribe, astronome, médecin, créateur de la 1ère construction monumentale en pierre de taille dans l’histoire de l’humanité.

o Deuxièmement, une dédicace spéciale est aussi faite à Ahmès qui recopia il y a 4 000 ans, l’un des plus célèbres papyrus mathématiques de l’Egypte antique nous transmettant l’idéal scientifique du monde pharaonique qui vante la puissance du nombre ;

o Troisièmement à Thomas Fuller (1710-1790), un africain américain, arrivé aux USA en 1724 dans de dures conditions de l’époque, génie en mathématiques au XVIIIe s ;

o Enfin aux mathématiciens africains contemporains.

Cette œuvre se révèle être une contribution majeure pour la connaissance mondiale de l’histoire scientifique et culturelle de l’Afrique qui reste encore à écrire massivement et à évaluer. Il y a de quoi célébrer nos ancêtres les plus méritants pour une autre histoire de la raison ! et renouer avec le nerf de la guerre, la monnaie, l’attribut de souveraineté qui fit la Puissance et qui leur avait permis d’atteindre la gloire. Or la nôtre est en des mains étrangères et ça s’appelle le CFA, une monnaie nazie.

Six documents joints permettent cette constatation et le décryptage des nombreux enjeux géostratégiques, économiques et financiers qui y sont liés.

Dagbédji TOÏHEN, Fondateur du CCI, Centre Culturel de l’Invitation
Abomey Calavi

Pour prendre connaissance des six annexes ci dessus merci d’appuyer sur le lien en couleur verte dans le texte